Se former au métier de conseiller en image

Les conseils d’un expert en image sont toujours utiles pour gagner de l’assurance, et retrouver l’estime de soi. Ce spécialiste possède tout le savoir-faire pour conseiller une personne pour harmoniser son apparence en général. Ce métier touche plusieurs aspects de la personnalité, mais grosso modo, le conseiller en image est un créateur d’espoir. Si cette activité vous fascine, faites-en votre carrière. Découvrez dans cet article tout ce dont vous avez besoin vous préparer à ce parcours.

Se former au métier de conseiller en image

L’objectif général d’un apprenti conseiller en image est de maîtriser l’orientation d’une personne vers un choix convenable de tenues selon sa morphologie et sa personnalité. Vous devrez être capable d’aider cette personne à soigner son apparence en général, et à adopter un comportement positif. Votre intervention devra constituer pour votre futur client un levier pour mettre en valeur sa personnalité.

Pour pouvoir exercer le métier de conseil en image, vous devez être titulaire d’un BAC+2 en esthétique ou coiffure, ou d’un CAP en esthétique et cosmétique. Tournez-vous vers un institut spécialisé dans la formation relooking paris pour acquérir les connaissances spécifiques au métier.

Un futur conseiller en image devra être capable de relever le potentiel de son client tout au long de l’encadrement. Pour être à la hauteur de ce métier, vous devez aiguiser votre sens de l’observation, de l’empathie et de l’écoute, ainsi que plusieurs autres qualités personnelles. Tout au long d’une formation, vous serez en mesure d’acquérir tout le « savoir-être » requis pour exercer cette activité. Vous devez être capable de développer vos atouts personnels et interpersonnels pour agir en toute confiance, et ressortir le meilleur dans la personnalité de vos futurs clients.

Apprendre la démarche de création de cabinet de conseil en image

Un conseiller en image peut exercer son métier en se déplaçant auprès de son client, ou au sein de son cabinet. Cette seconde option réussit plus si votre bureau est implanté dans une localisation géographique où le conseiller en image est fort sollicité. Par ailleurs, plusieurs critères entre en jeu pour monter votre cabinet une fois votre carrière lancée.

La réalisation d’une étude de marché est essentielle à la démarche de montage de cabinet de conseil en image. Cette étape impose l’observation des comportements d’achat de vos clients potentiels sur une zone d’implantation définie, notamment dans votre région. Il est aussi primordial d’effectuer une approche environnementale de la concurrence. Vous pouvez puiser des idées dans un blog des conseillers en image pour cette étape.

L’étude de marché doit se concentrer sur le potentiel commercial de votre carrière dans le secteur géographique envisagé. Cette démarche vous permet d’analyser le type de clientèle qui aura éventuellement besoin de vos prestations (clients particuliers, professionnels). Vous devez également planifier une stratégie pour vous démarquer de vos éventuels concurrents.

S’informer sur le choix du statut juridique du conseiller en image

Monter un cabinet de conseil en image renvoie à suivre des démarches relatives à la création d’une entreprise. Lorsque votre activité est régularisée, vous vous offrez largement l’opportunité d’obtenir de la notoriété dans votre domaine. Vous augmenterez également votre chance de valoriser le nom de votre entreprise aux yeux de vos futurs concurrents et clients potentiels.

Choisir un statut juridique pour votre cabinet impliquera des conditions particulières au niveau :

  • Du régime fiscal appliqué sur votre cabinet (impositions sociétales ou sur les revenus)
  • Du régime social (indépendant ou général)
  • Des formalités administratives relatives à la création de votre cabinet
  • De la règlementation de votre activité
  • De vos responsabilités en tant que dirigeant (apports, dettes, etc.)

Les formes juridiques les plus répandues en France en matière de conseil en image sont la SEL (Société d’Exercice Libéral), la SCP (Société Civile Professionnelle), et l’EI (Entreprise Individuelle).