Dès qu’on nous a posé cette question, nous avons regardé l’interlocuteur un peu perplexe, essayant de comprendre si c’était une question sérieuse ou s’il voulait se moquer de nous, pas tant pour la question, mais parce qu’il la posait à une agence web …
Pourquoi avoir un site Web ? Notre réponse en soi était et pourquoi ne pas l’avoir ?
Pourquoi avoir un site ?
Avoir un site Web est une vitrine dans le monde.
Avoir un site Web est un moyen de faire connaître nos produits.
Avoir un site Web est un moyen de fidéliser les clients.
Avoir un site Web est un moyen de se tenir au courant des tendances et des nouvelles tendances que le client recherche comme notre site question avocat .
Avoir un site Web est un moyen de comprendre si un produit pourrait être une rente ou une dépense.
Avoir un site Web est un moyen de faire de la publicité tout en réduisant les coûts.
Avoir un site Internet à l’ère des réseaux sociaux
Ce ne sont là que quelques considérations qui s’imposent, car un projet web, peut-être est-il plus correct de parler d’un projet que d’un site, ouvre une série de portes qui permettent à l’entreprise d’avoir beaucoup plus d’opportunités de développement.
Bien sûr, pour les professionnels, il est plus facile de comprendre combien de raisons valables peuvent avoir un site Web, et nous pensons que tout le monde devrait analyser cette façon de se proposer parce que, si à première vue cela pouvait paraître assez anonyme et insignifiant, en approfondissant un peu les facettes, nous devrions facilement réaliser quelles sont ses réelles potentialités.
On a beaucoup parlé de la raison pour laquelle un site Web était en place, mais les idées ne sont pas aussi claires.
Un site est une ressource et une économie
Souvent, en parlant avec les propriétaires d’entreprises prospères et prospères, nous réalisons combien de ressources sont gaspillées pour ne pas savoir comment intégrer une utilisation saine du monde du Web ; des raccourcis sont recherchés avec les réseaux sociaux, des profils sont ouverts sur des plateformes de vente en ligne, sans donner un sens à ces outils. Les gestionnaires établis ont souvent une vision déformée de ce médium, en particulier dans les grandes entreprises structurées, où le règlement est accompli et où d’excellentes approches du passé sont encore collectées.
Il y a toujours une entreprise qui essaie de vendre un produit, il y a toujours un client/acheteur potentiel qui essaie d’acheter un produit en toutes choses, alors pourquoi ne pas avoir un site Web où canaliser nos clients et les canaliser vers nos produits et services? Pourquoi ne pas proposer directement des remises et des offres sans avoir à investir dans du papier imprimé ? …
SMS, mail, newsletter, page ad-hoc sur un site, sont autant de systèmes dont les mérites théoriques sont connus mais qui sont pratiquement sous-estimés. La loyauté médiatique, nous en entendrons parler, car aujourd’hui, les tablettes, les Smartphones et autres accessoires technologiques nous accompagnent au quotidien et nous permettent de maintenir un lien avec le monde étranger en tout lieu et à tout moment.
Le site comme canal direct
Une autre idée d’avoir un site web pourrait être de donner à chaque client un moyen de nous rendre visite virtuellement quand il a le temps, de voir un produit sans perdre de temps, de faire un achat dans un moment libre sans avoir à bouger, pour envoyer un cadeau sans se soucier de la fermeture du magasin.
Le site est une excellente ressource.
Nous croyons fermement au médium et nous sommes toujours disponibles pour des conseils, des idées et des projets. Nous parlons de projets plutôt que de sites en eux-mêmes, car l’expérience nous enseigne que seules la constance et la ténacité nous permettent de toucher le public. Nous parlons de projets plutôt que de sites en eux-mêmes, car l’expérience nous enseigne que seules la constance et la ténacité nous permettent de toucher le public. L’esprit atteint ses souvenirs et les rend disponibles. Si à cet instant nous nous souvenons d’un ami du magasin, mieux, sinon nous regardons ailleurs et procédons à l’achat.