La Coronavirus a été la première crise sanitaire planétaire qui a produit un impact néfaste sur l’économie mondiale. Malheureusement, il a entraîné un nombre de décès très important et paralyse également tous les secteurs d’activités. Depuis quelques années, l’augmentation des taxes, les fuites de capitaux, la progression rapide de l’immobilier ont été freinées, notamment en Israël. Tout le mouvement lié à l’immobilier a été le plus touché pour cause de l’arrivée de la pandémie, et probablement un début de récession.
Coronavirus et immobilier : phénomène inédit
Les effets de la pandémie se font ressentir avec vigueur sur le marché de bien immobilier. L’exercice est particulièrement difficile, car la situation est vraiment inédite. De même, il est impossible de s’appuyer sur l’expérience des crises passées pour imaginer l’avenir. Le covid-19 a énormément bouleversé ce secteur, il a fait chuter brutalement les demandes en Israël.
Dans le même temps, les nouvelles réformes des banques visant à lutter contre le blanchiment d’argent ont compliqué les entrées des fonds en Israël. Ce qui a entraîné un grand blocage sur l’économie et l’immobilier. Les locataires n’arrivent plus à payer leur loyer, et craignent la résiliation de leur contrat de location. Ceci est devenu un sujet brûlant pour les investisseurs locaux et internationaux.
L’état du marché immobilier israélien
Beaucoup de choses peuvent avoir une conséquence sur le marché immobilier d’un pays. Concernant l’état immobilier israélien, il a connu une augmentation des prix des propriétés pendant certains temps. C’était depuis que le gouvernement a pris une décision claire pour stabiliser cette activité en 2008, les acheteurs ont constaté un accroissement des prix de logements. Et certes, ceci n’a pas cessé de grimper.
Mais depuis la crise sanitaire, le nombre des appartements vendus a baissé de 11,4 % entre janvier et mars 2020. Selon la statistique, ce chiffre a totalement chuté par rapport à la même période de l’année précédente. Cette flambée de covid-19 avait des impacts sur l’immobilier Israël au moins jusqu’à la fin 2020. On a ainsi constaté une diminution d’environ 50 % en moyenne des demandes sur tout Israël.
L’effet du confinement sur le marché immobilier
Israël doit se préparer à une vague d’Alyah informe le ministère de la Diaspora. Les Israéliens qui ont habité à l’étranger sont revenus, et sont à l’exigence de trouver un logement à Israël. La corona a porté un coup à la recherche d’appartements proposés à la vente.
La crise sanitaire commençant autour des fêtes de Pessah, jusqu’à la fin de l’été en temps normal. Concrètement, c’est là que la demande en premier trimestre a effondré de la moitié du prix. D’après le Bureau central des statistiques, un appartement de quatre pièces coûte en moyenne 3,14 millions à Tel-Aviv, 2,14 millions à Jérusalem, 2.3 millions à Ramat-Gan, etc. Ce chiffre a tellement baissé qui entraîne une forte chute du patrimoine financier et immobilier en termes réels.
Le retour des investisseurs en Israël
Les investisseurs ont également du mal à gérer leur bien immobilier à distance. La lourde tâche du développement immobilier en Israël a été confiée à 3 ministres en Israël : celui du Logement, des Finances et de l’Intérieur. Pourvu que le ministère des Finances accorde probablement des réductions sur les taux d’intérêt des crédits immobiliers.
En effet, le marché a connu un net ralentissement des ventes et de nombreux remous au cours des derniers mois. Mais les investisseurs expérimentés auront plusieurs opportunités d’investissement immobilier une fois la crise passée. Cependant, nous verrons les Israéliens se relancer à nouveau dans l’achat d’immobilier quand l’activité reprend complètement. Mais il faudra du temps pour que le prix reparte en hausse, car il ne faut pas oublier que les gens ont perdu de l’argent à la bourse.